Un soupçon d’évidence.
Celle que l’on oublie parfois.
Et qui se terre un peu à l’ombre.
Laissant volontiers place au doute ou à la contrariété.
Il suffit alors d’un mot ou d’une petite phrase.
A la fois au bon moment et bien formulée.
Et alors elle apparaît là comme si elle l’avait toujours été.
L’évidence. Ce soupçon d’évidence.
Celle qui nous avait quitté un court ou trop long instant.
Toujours parler, ne jamais intérioriser.
Le silence est notre pire ennemi.
Il nous pousse à la solitude, au déni ou à l’incompréhension.
Alors que quelques mots suffisent à renverser la tendance.
Et nous montrer l’évidence, celle que l’on avait oubliée.
Trouver la bonne oreille, celle toujours prête à écouter et à entendre.
Celle qui ne répondra pas aux doutes par l’ignorance.
Mais qui apportera son soutien et dirigera son attention vers nous.
Sans forcément qu’on le lui demande de manière expressive.
Et parfois même sans qu’on ait conscience de ce besoin.
J’ai cette chance.
Celle d’être entourée par celui qui me montre l’évidence.
Toujours un oeil sur moi, même de loin, même sans que je l’aperçoive.
Et je crois que je ne pourrais jamais assez l’en remercier.
En tout cas il se reconnaitra.
Celui qui fait battre mon coeur et qui l’apaise.
J’espère que vous avez aussi cette chance.
Douces bises,
Julie
2 Comments
Mary Leviandier
27 avril 2017 at 06:58Très bel article ma jolie Julie <3
Je vous envoie plein de bisous
Alexandra
5 mai 2017 at 13:01Bonjour Julie,
je viens de découvrir votre blog… comment vous dire… je suis bouleversée par votre histoire et votre force… D’autant plus que mon petit garçon porte le même prénom que le vôtre, je suis complètement retournée et admire votre force, celle qui vous permet d’aller de l’avant.. Et vos photos sont tellement belles et justes! Elles illustrent si bien vos propos… Bravo, et continuez…